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 Leçons apprises sur le terrain
 Derek Alton / L'équipe partenariats stratégiques / Mar 19, 2018
 Lecture de 25 minutes


Bonjour tout le monde!, Nous sommes la Division de la collaboration numérique du gouvernement du Canada, et notre mission est d’aider à redéfinir la coopération pour régler les problèmes d’ordre civique. Pour ce faire, nous appuyons le développement d’un espace de travail numérique à code source ouvert pour la collaboration et la cocréation. Vous voulez en apprendre davantage à notre sujet? Ce blogue, tenu par Chris Allison, a toute l’information dont vous avez besoin.

Cette année, notre équipe travaille plus fort que jamais pour faire participer le plus de gens possible à notre parcours d’apprentissage, alors restez à l’affût de nouveaux blogues et vlogues de notre équipe au cours des mois prochains.

La Division de la collaboration numérique comprend de nombreuses personnes qui travaillent toutes sur des aspects différents du projet. Dans ce blogue, vous trouverez quelques-unes de leurs histoires et les leçons qu’elles ont apprises au cours de l’année dernière, au fil de nos tentatives de cerner la meilleure manière d’accomplir nos tâches — ensemble.




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Derek Alton

GCcollab:

@Derek.Alton

Twitter:

@DerekAlton

Qui êtes-vous et que faites-

vous?

Je m’appelle Derek Alton et

je travaille au sein de l’équipe es partenariats stratégiques de la Division de la collaboration numérique. Mon travail est de communiquer avec les partenaires clés (au gouvernement comme à l’extérieur) afin d’encourager l’expérimentation dans la collaboration numérique et de partager leurs histoires. L’idée est qu’en appuyant ces pionniers et en mettant leurs réalisations en relief, nous pouvons amorcer une série de changements toujours plus importants dans la culture de résolution des problèmes au sein du gouvernement. Ces expériences servent aussi de banc d’essai pour une nouvelle génération d’outils numériques qui nous aideront dans notre travail.

Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?

Pour moi, le principal fait culminant de l’année dernière a été de constater le nombre de personnes avides d’explorer une nouvelle manière de penser et de travailler. On pense souvent que le gouvernement est démodé, qu’il est rempli de personnes incapables de sortir de leur vieille manière de penser qui ne correspond plus à la modernité. Et quand on m’aembauché, c’est exactement ce que je pensais. Mais cette année, j’ai pu voyager partout au pays et parler avec des gens travaillant au sein d’ordres de gouvernements et d’organismes communautaires variés. J’ai été époustouflé par le nombre de personnes qui défiaient mes attentes et qui étaient toujours prêtes à essayer de nouvelles choses — des personnes qui croient corps et âme que le gouvernement a un rôle crucial à jouer pour faire avancer la société dans l’ère numérique d’aujourd’hui. Des personnes qui regorgent non seulement de passion, mais aussi d’idées et d’énergie nécessaire pour traduire ces idées en action.

Quelle est la leçon de la dernière année?

Sans aucun doute, la patience. Même s’il y a plein de personnes prêtes à penser et à travailler autrement, notre système a été conçu pour une période différente et un paradigme différent. Changer sa manière de travailler dans ce contexte, c’est travailler à contresens. La modernisation prend du temps et la vitesse de développement des outils ne peut pas toujours maintenir le pas avec celle de la production de nouvelles idées (surtout avec une petite équipe). Je n’avais aucune idée de la quantité de temps et d’énergie qui serait nécessaire pour faire ce que je voulais faire, alors j’avais tendance à surestimer mes capacités et à disperser mes efforts, ce qui sapait ma capacité à accomplir mes objectifs.

De quoi êtes-vous excité pour l’année à venir?

Du projet de Sentiers. Je vais pouvoir activement chercher des groupes de gens inspirants qui cherchent de nouveaux moyens de faire les choses, les appuyer et les aider à partager leur histoire. Nous pourrons non seulement tester un assortiment de nouveaux outils numériques tels GCcollab, mais aussi créer un répertoire d’histoires mettant en lumière chaque groupe de pionniers pour amorcer un virage vers une nouvelle culture.




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Sierra Duffey

GCcollab:

@SDuff

Twitter:

@s_duffey

Qui êtes-vous et que faites

vous?

Salut! Je suis Sierra Duffey

et je fais partie de l’équipe de l’expérience utilisateur et du contenu. Ce que j’aime le plus dans mon rôle, c’est que je peux travailler sur un peu tout ce que je veux! Je m’occupe de nombreuses tâches, dont la rédaction de contenu d’aide, l’examen et l’amélioration de l’expérience des utilisateurs, la création de collectivités autour de nos outils et l’élaboration d’excellent contenu à partager avec les utilisateurs. Mon rôle principal en ce moment est de diriger notre projet de système de conception.

Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?

Le point culminant de l’année pour moi a été le moment où j’ai joint l’équipe en septembre. J’ai eu un entretien de recrutement très informel, et mon premier jour de travail s’est passé de la meilleure manière possible! Je me suis tout de suite sentie la bienvenue au sein de l’équipe et j’ai rapidement appris comment tout fonctionne. Le facteur décisif à savoir si on aime notre travail et notre carrière ou pas, c’est les gens avec qui on travaille, alors le fait de venir à connaître tous les membres de l’équipe et d’apprendre d’eux a été un point marquant de 2017, et j’espère que 2018 va continuer dans la même veine.

Quelle est la leçon de la dernière année?

Depuis que je travaille ici, je pense beaucoup à ma relation quotidienne avec la technologie et la manière dont elle augmente ou diminue mon bonheur, mon stress et mes attentes. De base, la technologie n’est ni « bonne » ni « mauvaise », mais il faut beaucoup réfléchir sur la manière dont nous l’intégrons dans notre vie quotidienne. Et en tant que concepteurs, nous devons être conscients du fait que nos partis pris et nos pensées affectent notre produit depuis le début de la conception.

Cette année, on aura beaucoup de questions inattendues et profondes au sujet de la technologie, et de la manière dont elle change le monde. La technologie n’est plus qu’une affaire de techniciens, on l’utilise tous et on l’influence tous, des gouvernements aux pays et aux citoyens, à tous les niveaux d’expertise. C’est pour ça qu’on va devoir se poser des questions complexes sur l’effet que nos produits et nos services numériques ont sur la vie des gens. Travailler au gouvernement nous donne une chance unique d’établir des normes et des politiques d’ordre éthique qui ont un effet réel sur la vie des citoyens et possiblement sur notre manière d’interagir avec d’autres gouvernements autour du globe.

Qu’est-ce qui vous fascine pour l’année à venir?

L’élément le plus important dans mon esprit en ce moment est le nouveau système de conception sur lequel on vient de commencer à travailler. C’est une chance pour moi d’appliquer mes compétences en conception de manière très pratique. Je peux à peine croire qu’on m’a confié la tâche de diriger un projet aussi stimulant! Ce système de conception fait partie intégrante de la création d’outils efficaces qui seront visuellement attrayants sans sacrifier l’aspect fonctionnel. Maintenant que nous faisons preuve de plus d’audace et d’ambition que jamais et qu’on essaie d’aborder des questions d’ordre philosophique sur la relation entre les technologies numériques et le gouvernement, on a besoin d’un guide solide de conception de nouveaux produits et de nouvelles fonctionnalités. Lorsqu’on n’aura plus besoin de se poser constamment des questions sur l’aspect visuel de nos produits et sur la structure du code, on aura plus de temps pour penser à notre raison fondamentale de créer ces produits.

Pour en apprendre davantage sur les systèmes de conception et sur nos raisons d’en créer un, visitez mon article de blogue à ce sujet.




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Nick Pietrantonio

GCcollab:

@nicholas.pietrantonio

Qui êtes-vous et que faites-

vous?

Mon nom est Nick

Pietrantonio, développeur à
la Division de la collaboration
numérique. Je fais plein de choses, y compris la création de nouvelles fonctionnalités, la réparation des bogues, la conception d’interfaces, la conception graphique et les tests de facilité d’emploi. Dans le jargon des techniciens, je suis un spécialiste du « logiciel frontal », c’est-à-dire que je m’occupe des aspects d’OutilsGC que vous, les utilisateurs, voyez et avec lesquels vous interagissez. Je suis un passionné de tous les aspects du développement de sites web et de logiciels, mais surtout de la conception.

Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?

Cette année, j’ai eu le plaisir de visiter la côte Est avec Derek Alton pour recevoir le prix argent en Gestion novatrice pour OutilsGC. Nous avons rencontré des représentants du gouvernement, des universités et de la communauté à Moncton, à Fredericton, à Halifax et à Charlottetown. C’était une occasion en or de discuter avec les utilisateurs actuels et potentiels et d’obtenir leurs commentaires importants. Nous avons rencontré de nombreuses personnes merveilleuses et senti l’accueil chaleureux de la côte est.

Quelle est la leçon de la dernière année?

Nous avons parlé à de nombreux utilisateurs sur les manières dont nous pouvons moderniser et améliorer l’accessibilité de nos outils. Nous avons observé des utilisateurs avec des lecteurs d’écran, appris à utiliser les lecteurs d’écran nous-mêmes et effectué beaucoup de recherches afin de rendre les outils plus conviviaux pour les utilisateurs de technologies d’assistance. De plus, j’ai eu l’occasion de satisfaire le « geek » en moi et d’essayer de nouvelles technologies que je n’avais jamais eu la chance d’explorer auparavant, telles que l’environnement de développement web Django, écrit en Python, qui permet de concevoir des programmes plus rapidement, et ReactJS, qui fournit des modèles d’interface.

De quoi êtes-vous excité pour l’année à venir?

Ce qui m’excite, c’est de trouver de nouvelles manières d’aider les fonctionnaires à accomplir leur travail et ainsi d’améliorer l’expérience des Canadiens par rapport au gouvernement. Un facteur clé de réussite dans cette tâche, je pense, sera de parler directement à plus d’utilisateurs et de les faire participer au processus de conception. Évidemment, je suis aussi excité d’aborder les problèmes majeurs liés à la conception avec cette fantastique équipe!



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Chris Allison

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@Christopher.Allison

Twitter:

@ToferC
Qui êtes-vous et que faites-
vous?

Je m’appelle Chris Allison, je

dirige la Division de la collaboration numérique au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et j’agis à titre de responsable opérationnel et de gestionnaire des OutilsGC. Je fais aussi la promotion de nouvelles manières d’utiliser la technologie pour améliorer nos processus de travail. Notamment, je valorise l’utilisation de logiciels libres et ouverts pour travailler de manière plus efficace et pour appuyer la mise en place d’un cadre gouvernemental de gouvernance et d’utilisation de la technologie efficaces.
Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?
Pour moi, le point culminant de l’année dernière a été le fait de mieux comprendre ce que GCcollab pourrait apporter au gouvernement du Canada. Au début, c’était juste un moyen de mieux travailler avec les partenaires et de bâtir des relations. En 2017, nous avons réussi à changer notre perspective, et la question qui se pose maintenant est « Comment pourrions-nous utiliser un espace de travail en collaboration ouvert et accessible pour redéfinir la manière dont nous coopérons avec les partenaires et les citoyens côte à côte? ». On ne sait pas encore où cette nouvelle perspective va nous mener, mais la possibilité d’utiliser les logiciels libres et ouverts pour reformer notre manière de coopérer n’est rien de moins qu’incroyable!
Quelle est la leçon de la dernière année?
C’est difficile de s’adapter au changement et d’assurer la bonne quantité de communications. Même avec une équipe flexible qui est toujours à la fine pointe de l’innovation, il y a toujours beaucoup d’incertitude par rapport aux nouvelles technologies, aux nouveaux processus et aux changements apportés à l’équipe lorsque de nouveaux membres s’ajoutent et de vieux amis partent. S’il y a une seule leçon que j’ai bien apprise en 2017, c’est qu’il n’y a jamais trop de communication. Je dois m’assurer non seulement que toute l’équipe est bien informée des idées que j’ai en tête, mais aussi que ces idées sont claires et compréhensibles.
De quoi êtes-vous excité pour l’année à venir?
Oh, de tellement de choses! On va travailler en partenariat avec les Pays-Bas (entre autres!) sur la restructuration de la plate-forme de collaboration de base. On va avoir un système de conception pangouvernemental. On va inaugurer GCmessage, une plate-forme de messagerie instantanée et de discussion en équipe à l’échelle du gouvernement. On va mettre en œuvre une solution d’authentification unique pour GCcollab et GCconnex et les intégrer dans une seule plate-forme. Et je vais pouvoir passer une autre année au sein d’une merveilleuse équipe!




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Sébastien Lemay

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@Sebastien.Lemay

Twitter:

@smellems

Qui êtes-vous et que faites-

vous?

Je suis Sébastien Lemay! Je suis utilisateur et défenseur des logiciels libres. Je suis développeur d’applications (surtout web), administrateur de systèmes (de plus en plus dans les nuages) et de bases de données. Je suis présentement en affectation au Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) dans l’équipe de la collaboration numérique (OutilsGC). En plus de l’organisation du Marathon de programmation OutilsGC 2017, je participe au développement des OutilsGC et à la mise en place de stratégies pour l’adoption de normes ouvertes ainsi que l’utilisation et la publication de logiciels libres par le GC.

Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?

Ma tâche principale pour mon affectation avec le SCT était l’organisation du Marathon de programmation (Hackathon) OutilsGC! Nous avons réservé tout le Labo de services de ISDE, qui a une capacité de recevoir 80 personnes, avec l’objectif de le remplir. Avec l’équipe des organisateurs, nous avons planifié tous les détails, les approbations, les ateliers, la promotion, le site Web, les groupes GCconnex et GCcollab, la formation des équipes, la nourriture, les tables, le gaffer tape, le son et le wifi. Bien qu’on ait eu beaucoup d’inscriptions, j’étais très nerveux le premier jour, à savoir si des gens allaient venir. Heureusement, environ 70 étaient au rendez-vous pour apprendre comment participer au développement des OutilsGC et ajouter ou proposer des nouvelles fonctionnalités. Un groupe de discussion sur l’accessibilité web s’est formé naturellement dans un coin avec des tests de fonctionnalités avec des lecteurs d’écran et autres outils. Je n’avais jamais organisé un aussi grand événement (même pas des petits). C’était une expérience enivrante, vraiment pas dans ma zone de confort, qui m’a aussi permis de rencontrer plusieurs personnes intéressantes.

Quelle est la leçon de la dernière année?

Au début de mes recherches sur les marathons de programmation et comment les organiser, j’ai trouvé un guide qui m’a été très utile et auquel je me suis référé à plusieurs reprises. Une des choses que j’ai réalisées avec ce guide est qu’un marathon de programmation n’est pas nécessairement une compétition, mais plutôt une occasion de réunir la communauté (utilisateurs et développeurs des OutilsGC) et de fournir un temps et un espace pour que les participants puissent travailler sur des problèmes qui les intéressent et/ou d’apprendre quelque chose de nouveau.

De quoi êtes-vous excité pour l’année à venir?

En fin d’année 2017, le SCT a mis en ligne (sur GitHub) l’ébauche du livre blanc « Ouvert en premier » dont l’objectif est d’inspirer le nouveau Conseil d’examen de l’architecture intégrée (CEAI) dans l’établissement de standards à l’égard des normes ouvertes et des logiciels libres. Ces standards influenceraient l’approvisionnement, ainsi que l’élaboration d’une stratégie sur le numérique, de manière à favoriser l’adoption de normes ouvertes et l’utilisation de logiciels libres. J’espère que 2018 sera l’année où on verra des nouvelles qui annoncent que le GC adopte des normes ouvertes, qu’il encourage fortement les ministères à utiliser des logiciels libres, en plus de publier le plus de code possible sous des licences de logiciels libres.à




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Joy Moskovic

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@Joy.Moskovic

Twitter:

@Joymosk
Qui êtes-vous et que faites-
vous?
Je m’appelle Joy Moskovic, en ce moment, je suis en affectation à la Division des politiques de l’information et de la protection des renseignements personnels du Conseil du Trésor, mais j’ai passé sept des huit années précédentes à travailler dans le domaine des communications et de la mobilisation communautaire à la Division de la collaboration numérique. Je faisais donc la promotion de l’utilisation et de l’acceptation d’OutilsGC. J’informais les utilisateurs sur les nouvelles fonctionnalités et les nouveaux problèmes, j’organisais les séances d’apprentissage, je fournissais les conseils et l’orientation stratégique et j’aidais les utilisateurs à se connecter aux collectivités d’OutilsGC.

Quel est un point culminant/une réalisation spéciale de la dernière année?

C’était stimulant de revenir après un an et de voir à quel point l’équipe a grandi, le nombre de nouvelles personnes avec de nouvelles compétences et connaissances. La différence par rapport à l’année d’avant, c’est que malgré le fait que je suis ironiquement très introvertie, j’ai pris toutes les possibilités de parler aux personnes face à face, d’écouter leurs histoires et de les aider à découvrir comment OutilsGC peut faciliter et améliorer leurs processus de travail. Quand on commence à voir ces liens concrets, c’est là qu’on se rend compte de l’influence de notre travail sur les autres. On vient juste de gratter la surface et c’est excitant de voir dans quelle direction nous allons continuer.

Quelle est la leçon de la dernière année?

L’année dernière, je me suis vraiment rendu compte de tout ce qu’il nous reste encore à apprendre. On commence à s’aventurer dans l’utilisation de technologies qui n’existaient même pas il y a à peine quelques années. On explore l’utilisation des intelligences artificielles, de la conception UX, des modèles axés sur les données et les sources ouvertes pour améliorer notre façon de travailler. Avec chaque technologie vient une courbe d’apprentissage très abrupte, mais aussi de nouveaux horizons qui s’ouvrent.

De quoi êtes-vous excitée pour l’année à venir?

Malgré le fait que je sois en détachement, je demeurerai une utilisatrice active! Les OutilsGC font partie de ma vie, et prendre un peu de recul me permet de les observer du point de vue des utilisateurs et de constater comment ils répondent (ou ne répondent pas) aux besoins opérationnels. Et sans aucun doute, je garderai un œil sur ma famille, la Division de la collaboration numérique! Je suis impatiente de voir comment nous ferons d’OutilsGC un aspect toujours plus critique du processus de travail des fonctionnaires et le changement de culture qui en résultera. Avec l’intérêt croissant envers la conception UX et l’utilisation des données, j’attends avec impatience de voir les outils évoluer et devenir plus intuitifs et conviviaux. 2018 sera une année importante pour OutilsGC