Difference between revisions of "Événements de l'Académie du numérique de l'ÉFPC/Forum annuel sur le gouvernement numérique ouvert : exploiter la puissance de l'intelligence artificielle Conférenciers (2020)"
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'''Chercheurs, Institut d'éthique de l'IA de Montréal; chercheur principal en intelligence artificielle, Rapid7'''<br> | '''Chercheurs, Institut d'éthique de l'IA de Montréal; chercheur principal en intelligence artificielle, Rapid7'''<br> | ||
Erick Galinkin est un pirate informatique et mathématicien spécialisé dans la théorie de l’apprentissage automatique et dans l’application de l’intelligence artificielle aux problèmes de cybersécurité. Ses recherches à l’Institut d’éthique de l’IA de Montréal se concentrent sur l’utilisation des principes du déploiement de logiciels modernes pour renforcer la sécurité et l’éthique des systèmes d’apprentissage automatique.|- | Erick Galinkin est un pirate informatique et mathématicien spécialisé dans la théorie de l’apprentissage automatique et dans l’application de l’intelligence artificielle aux problèmes de cybersécurité. Ses recherches à l’Institut d’éthique de l’IA de Montréal se concentrent sur l’utilisation des principes du déploiement de logiciels modernes pour renforcer la sécurité et l’éthique des systèmes d’apprentissage automatique.|- | ||
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Biographies des conférenciers
Samuel Marleau OuelletDirecteur, Centre d’innovation, Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISED) | |
Jim ProvostSpécialiste principal des données, Lixar IT | |
L’honorable Joyce MurrayMinistre du Gouvernement numérique Dans ses fonctions antérieures de secrétaire parlementaire du président du Conseil du Trésor, la ministre Murray a parrainé le Centre pour un gouvernement vert, dont elle a également codirigé la création. Le projet, qui vise à rendre les activités du gouvernement fédéral plus écologiques et plus efficaces, convenait parfaitement à la ministre Murray, dont l’esprit entrepreneurial avait été renforcé grâce à son entreprise de reboisement. L’entreprise a planté près de 1,5 milliard d’arbres, y compris plus 500 000 arbres qui ont été plantés par la ministre Murray elle‑même. La ministre Murray est une leader d’opinion à l’avant-garde des nouvelles politiques progressistes du gouvernement. Qu’elle s’emploie à défendre l’adoption de mesures rigoureuses et judicieuses en matière d’environnement, comme l’interdiction de la circulation des pétroliers le long du Nord de la côte britanno-colombienne, ou à promouvoir la légalisation et la réglementation stricte du cannabis, la ministre Murray a la capacité d’envisager et de mettre en œuvre de nouvelles idées audacieuses grâce à sa vaste expérience en politique et dans le monde des affaires. Son intérêt à l’égard de la durabilité de l’environnement est évident dans sa thèse de maîtrise sur le réchauffement climatique, qui lui a valu la médaille du doyen de la Simon Fraser University remise au meilleur diplômé en administration des affaires en 1992. Quand la ministre Murray était enfant, sa famille a immigré au Canada à partir de l’Afrique du Sud et s’est installée à Vancouver. Elle a trois enfants, maintenant adultes, et cinq petits‑enfants. Elle habite dans la circonscription de Vancouver Quadra avec son mari, Dirk. | |
Jesse HirshFuturiste, chercheur, stratège Internet et collaborateur sur le numérique à l'École de la fonction publique du Canada | |
Dr. Sarah ShokerPh. D., boursière de recherches postdoctorales et fondatrice de Glassbox Inc. Elle est la fondatrice de Glassbox, une entreprise spécialisée dans l’impact social qui forme des intervenants du gouvernement et du secteur technologique afin de déterminer les répercussions sociales des systèmes d’intelligence artificielle. Ses travaux sont très prisés par les décideurs du gouvernement, et lui ont valu une invitation de la chef d’État canadien, la gouverneure générale Julie Payette, à faire partie d’une délégation en Lituanie et en Estonie. Mme Shoker a été invitée à faire partie du Conseil consultatif en matière d’intelligence artificielle du gouvernement du Canada, en tant que membre du Groupe de travail sur la sensibilisation du public. Elle a également été chargée par Affaires mondiales Canada de rédiger un rapport sur les effets sexospécifiques des technologies numériques de l’information et de la communication dans le contexte de la sécurité internationale. Son rapport contribuera à l’intégration de la dimension du genre dans la politique nationale de cybersécurité du gouvernement du Canada. Mme Shoker a été l’oratrice principale de la conférence sur l’exploitation des données organisée par Sécurité publique Canada, où elle a eu l’occasion de parler de l’équité et de l’éthique algorithmiques aux organismes partenaires de FiveEyes. Qu’elle s’exprime au sein de groupes d’experts parrainés par la Campaign to Stop Killer Robots, de groupes de réflexion comme le Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale, ou s’adresse à des États membres des Nations Unies, elle s’efforce toujours d’utiliser ses recherches pour combler le fossé entre des intervenants qui ont souvent des idées très différentes sur le rôle de l’intelligence artificielle dans la société. Tout récemment, en octobre 2020, Palgrave MacMillan a publié le livre de Mme Shoker sur le genre, la technologie et la guerre intitulé Military-Age Males in U.S. Counterinsurgency and Drone Warfare. On peut suivre Sarah Shoker sur Twitter @SarahShoker. | |
Benoit DeshaiesDirecteur intérimaire, Données et intelligence artificielle, Bureau du dirigeant principal de l'information, Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada | |
Valentine GoddardAvocate; fondatrice et directrice générale, AI Impact Alliance Me Goddard est membre du groupe d’experts des Nations Unies sur “Le rôle des institutions publiques sur l’impact transformateur des nouvelles technologies”, et sur “Une transition socialement juste vers le développement durable: Le rôle des technologies numériques sur le développement social et le bien-être de tous”. Son implication au sein de ces comités de gouvernance numérique a résulté en la publication de politiques publiques en lien avec l’encadrement éthique et normatif de l’IA. Elle siège sur de nombreux comités en lien avec les implications éthiques et sociales de l’IA, tout en étant régulièrement invitée à prendre parole lors de conférences internationales. Elle est membre élue du conseil d’administration du Musée des Beaux-Arts de Montréal.
Dans son approche multidisciplinaire et appliquée de l'éthique de l’IA, elle accorde une importance particulière à la dignité humaine, ayant initié au cours de sa carrière plusieurs projets de médiation culturelle et sociale visant l’éducation aux droits de la personne. Ses travaux récents sont axés sur la manière dont les secteurs artistiques et culturels peuvent favoriser des perspectives renouvelées et diversifiées de notre avenir numérique, soutenir le développement de politiques d'IA éclairées et légitimes, et façonner le développement et la gouvernance de l’IA. | |
Sandy KyriakatosDirectrice des données, Agence des services frontaliers du Canaday | |
Julie McAuleyBureau principal des données, Unité des résultats et livraison, Innovation, Sciences et Développement économique Canada | |
Mauko QuirogaAgent des politiques et de la mobilisation, programme @beta.gouv.fr, gouvernement de la France | |
Pia AndrewsDirectrice générale, volet de l'expérience numérique et des données sur la clientèle, Emploi et Développement social Canada Mme Andrews est actuellement responsable numérique et conseillère spéciale dans le cadre du programme de Modernisation du versement des prestations à Service Canada (EDSC), à Ottawa (Canada). Elle y contribue à la conception et à la mise en place d’une chaîne numérique holistique et moderne pour le gouvernement canadien, afin d’offrir un merveilleux et digne parcours numérique, axé sur l’utilisateur, réactif et intégré, qui motive les gens et leur donne les moyens de s’aider eux-mêmes. | |
Julie LeeseDirigeante Principale du numérique, Transports Canada Julie a commencé sa carrière au sein de la fonction publique il y a 35 ans dans le
domaine de la géomatique au ministère de la Défense nationale. Julie a également
travaillé a plusieurs départements dont : Travaux publics, Agriculture Canada,
Secrétariat du Conseil du Trésor et Service correctionnel Canada. Elle s'est jointe à
Transports Canada en 2016 à titre de dirigeante principale de l'information (DPI), où elle
a réussi à moderniser le programme de GI/TI du ministère pour mieux habiliter les
employés et assurer la prestation des programmes et des services du ministère. Julie
possède une expérience variée en géomatique, en prestation de programmes, en
gestion des services, en gestion du changement et en GI/TI. En plus de son travail à Transports Canada, Julie est également très active au sein de la communauté des DPI du gouvernement du Canada et est membre de l'Association canadienne des DPI. Elle a également mis sur pied le CIO-X-Change qui réunit les DPI du gouvernement du Canada pour collaborer, échanger des histoires de réussite et des pratiques exemplaires et pour favoriser la transformation numérique. | |
David CarterAgent du Conseil de recherches, Connaissance de la situation, Conseil national de recherches Canada | |
Peter YoonGestionnaire, Sciences appliquées, Direction générale des opérations réglementaires et de l'application de la loi, Santé Canada | |
Bryan Paget[Awaiting French Translation] | |
Brook CarrothersGestionnaire, Programme de protection des passagers-opérations de ciblage | |
Tracey LauriaultProfesseure adjointe, médias critiques et mégadonnées, École de journalisme et de communications, Université Carleton Elle fait partie des fondateurs du nouveau domaine portant sur l’étude de données critiques, les données ouvertes et les villes intelligentes ouvertes au Canada, et elle possède une expertise en matière d’infrastructures de données et de médias spatiaux pour lesquels l’IA joue un rôle important. Elle participe au forum multipartite du Réseau canadien de la société civile pour un gouvernement ouvert, a siégé au conseil d’administration de NordOuvert et est associée de recherche à l’Institut des sciences sociales de l’Université Manyooth en Irlande, au Centre de recherches en géomatique et cartographie de l’Université Carleton, au Centre de recherche en droit, technologie et société de l’Université d’Ottawa et à l’Institut national de la recherche scientifique de Montréal. Pour plus d'informations sur la présence en ligne de Tracey Lauriault | |
Erick GalinkinChercheurs, Institut d'éthique de l'IA de Montréal; chercheur principal en intelligence artificielle, Rapid7 | |
Ana BrandusescuProfesseure praticienne de la Fondation McConnell du Centre de recherches interdisciplinaires en études montréalaises pour 2019-2021, Université McGill Pendant son passage à la World Wide Web Foundation, Mme Brandusescu a mené des recherches sur la mise en œuvre et l’impact des données gouvernementales ouvertes dans 115 pays avec l’Open Data Barometer, a coprésidé le groupe de mesure et de responsabilisation de la Charte internationale des données ouvertes, et a mené des recherches sur la défense de l’égalité des sexes en Asie, en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes via le programme Women’s Rights Online. Mme Brandusescu est l’auteure de blogues, de rapports et de chapitres de livres sur les données ouvertes, les contrats ouverts, la mesure des données, la politique de l’IA, la protection des données et l’égalité des sexes. Son travail comprend également des recherches sur les politiques et la création de partenariats stratégiques en matière de données ouvertes pour l’agriculture et la nutrition, la cartographie participative, le codéveloppement de l’Open Contracting Data Standard et le développement de la communauté de cartographie des foules au Canada. Mme Brandusescu détient une maîtrise en géographie de l’université McGill et un baccalauréat avec double spécialisation en économie et en géographie environnementale de l’université Simon Fraser. | |
Sarah VilleneuveChef de programme, Partenariat sur l'intelligence artificielle Elle a auparavant dirigé des recherches sur les aspects sociopolitiques de l’IA au Brookfield Institute — un groupe de réflexion à but non lucratif de l’Université Ryerson de Toronto — où elle a conçu et animé une série d’ateliers nationaux sur la politique de l’IA, soutenue par la Stratégie pancanadienne en matière d’IA. Avant cela, Mme Villeneuve a été assistante de recherche à l’Université de Cambridge, où elle a contribué au développement de The Whistle, un outil numérique de vérification des rapports sur les droits de la personne. Elle a également contribué à l’initiative mondiale sur les considérations éthiques des systèmes autonomes et intelligents de l’Institute of Electrical and Electronics Engineers, en tant que membre du comité sur le bien-être et du groupe de travail sur les mesures. Mme Villeneuve a présenté ses travaux dans des forums tels que le Symposium Canada-Royaume-Uni sur l’éthique en intelligence artificielle, le sommet mondial de l’Open Government Partnership et la Media Ethics Conference. Elle a été reconnue comme l’une des 100 femmes remarquables à suivre dans le domaine de l’éthique de l’IA, ainsi que comme l’une des 30 femmes faisant progresser l’IA au Canada. Elle a également été présentée par Fast Company et le Globe and Mail. Mme Villeneuve est titulaire d’une maîtrise en données et société de la London School of Economics and Political Science, ainsi que d’un baccalauréat en sciences politiques et relations internationales de l’Université de Londres. | |
Mélanie RobertDirectrice exécutive, Gouvernement ouvert et Portails, Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
Mélanie Robert est directrice exécutive de l’équipe du Gouvernement ouvert du Secrétariat
du Conseil du Trésor du Canada (SCT). Elle dirige les efforts du gouvernement du Canada
visant à ouvrir les données et l’information et à augmenter l’imputabilité de ses pratiques
ainsi que la participation citoyenne. De plus, Mélanie gère le portail canadien du
gouvernement ouvert et des données ouvertes (www.ouvert.gc.ca) ainsi que le Service en
ligne de demandes d’accès à l’information. Avec plus de 20 ans d'expérience dans la fonction publique fédérale, Mélanie a coordonné
l’analyse d’affaires, la réglementation et l’application des règlements, ainsi que les
communications et les consultations dans des dossiers liés à la technologie et à
l’innovation.. Vous pouvez suivre Mélanie sur Twitter @MelRobrt | |
Sarah PaquetDirectrice, Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada En août 2011, elle est devenue sous-ministre adjointe (SMA) de la Direction générale des services
intégrés de SPAC. Elle a joué un rôle clé dans la Stratégie de service de SPAC, qui a contribué à ancrer l’excellence du service à la clientèle dans l’ensemble du Ministère. De plus, elle a été responsable de la mise en œuvre des principales solutions opérationnelles axées sur la TI du gouvernement du Canada. En avril 2017, Mme Paquet est devenue sous-ministre adjointe principale, Direction générale de la
stratégie, à Services partagés Canada (SPC). Elle a dirigé l’élaboration d’un nouveau plan de
transformation de l’infrastructure de TI du gouvernement du Canada, ce qui a entraîné de nouveaux
investissements dans SPC. En février 2018, Mme Paquet a été nommée première vice-présidente (PVP) de SPC. À titre de PVP à
SPC, Mme Paquet assure le leadership de SPC alors que le Ministère modernise l’infrastructure de TI d’entreprise du gouvernement du Canada, ce qui permet la prestation de services numériques aux
Canadiens et aux Canadiennes. En novembre 2020, Mme Paquet a été nommée directrice et présidente-directrice générale du Centre
d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE), faisant d’elle la première avocate à diriger l’organisation. Mme Paquet est également la sous-ministre championne de l’Université d’Ottawa et renforce, ainsi, la relation entre l’université et le gouvernement du Canada en mettant l’accent sur la santé mentale et le recrutement des étudiants. Elle est une ardente défenseure des femmes dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM). | |
Taki SarantakisPrésident, École de la fonction publique du Canada Il a reçu le prix d'excellence de la fonction publique en politiques publiques en 2011, puis la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II en 2013. Avant de se joindre au gouvernement fédéral, Taki Sarantakis s'est inscrit au doctorat à l'Université de Toronto. Il détient un baccalauréat et une maîtrise de l'Université York de Toronto. Il possède également un certificat pour cadres en politiques publiques de la Harvard Kennedy School of Government, en plus d'avoir réussi le Programme de perfectionnement des administrateurs de la Rotman School of Management de l'Université de Toronto, ce qui lui confère le titre IAS.A. | |
Andrew NgFondateur de DeepLearning.AI | |
Marc BrouillardDirigeant principal de la technologie du gouvernement du Canada Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada Avant d’intégrer les rangs du gouvernement du Canada, il a occupé le
poste de vice-président au développement des affaires d’une entreprise
en démarrage locale de services de commerce électronique. Avant cela,
il a occupé pendant 13 ans divers postes de consultation en technologies
et de développement des affaires au sein de MONTAGE IT Services, une
division de MTS/Allstream. Marc apporte une vision pan-gouvernementale et un leadership stratégique pour la recherche d’une excellence de classe mondiale dans l’intégration numérique, la cyber-sécurité ainsi que la gestion et la technologie de l’information. Au cours de sa longue et fructueuse carrière, il a occupé des postes de cadre supérieur, tant dans la fonction publique que dans le secteur privé, en gestion et en technologie de l’information. |