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Difference between revisions of "Neuroplasticité et autocompassion : Aperçu de la classe de maître Diriger en élevant les autres"

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== '''<big>Perspectives sur le pouvoir du parrainage dans l'avancement de carrière : Aperçu de la classe de maître Diriger en élevant les autres</big>'''  ==
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== '''<big>Neuroplasticité et autocompassion : Aperçu de la classe de maître Diriger en élevant les autres</big>'''  ==
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[[File:Gérard Étienne 2024 Masterclass FR.png|alt=|left|frameless|437x437px]]
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[[File:Alejandro Gonzalez & Ginette Bailey 2024 Masterclass FR.png|alt=|left|frameless|437x437px]]
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<big>Le parrainage est une stratégie cruciale pour accélérer la croissance de la carrière et créer des opportunités. La première classe de maître de Diriger en élevant les autres : Programme des cercles de mentorat (DEAPCM) de 2024, qui s'est tenue le 23 septembre, a porté sur le Pouvoir du parrainage.</big>  
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<big>La capacité à s'adapter au changement est l'une des compétences les plus importantes pour favoriser des lieux de travail diversifiés, inclusifs et psychologiquement plus sûrs. Pour aider à former des leaders inclusifs à tous les niveaux de la fonction publique fédérale et de l'Équipe de la Défense, le Bureau de la diversité et de l'inclusion, Groupe des matériels, Défense nationale, organise chaque année Diriger en élevant les autres : Programme des cercles de mentorat (DEAPCM), la plus grande initiative de mentorat de groupe pour les membres du gouvernement du Canada et des Forces armées canadiennes, avec plus de 1100 participants provenant de plus de 60 départements. Chacune de ces personnes participe à l'un des 150 cercles de mentorat du programme.  </big>
  
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<big>Présenté par Gérard Étienne et animée par Samantha Moonsammy et Suzan Richards, cette session a mis en lumière la façon dont le parrainage transforme les carrières, élève les autres et favorise des changements significatifs dans l'ensemble de la fonction publique.</big>
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<big>Le 18 novembre 2024, le DEAPCM a organisé sa cinquième et dernière classe de maître de l'année, intitulée « Autocompassion et neuroplasticité ». Elle était dirigée par Alejandro Gonzalez et Ginette Bailey et animée par Samantha Moonsammy et Suzan Richards.</big>
  
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<big>Le parrainage va plus loin que le mentorat en défendant activement la progression de carrière d'une personne. Alors que les mentors fournissent des conseils et partagent leurs connaissances, les parrains utilisent leur influence pour promouvoir l'avancement de leur protégé. Gérard a décrit le parrainage comme « une condition nécessaire pour évoluer au sein de la fonction publique », tout en reconnaissant que son application n'est pas uniforme. Malgré les efforts déployés en matière de diversité et d'inclusion, il a noté, sur la base de ses recherches doctorales, de son expertise en la matière et de son expérience directe de l'élaboration et de la production d'enquêtes d'inventaire sur la diversité et l'inclusion, que les données démographiques de la fonction publique ne sont toujours pas représentatives de la diversité canadienne, en particulier au niveau de la direction.</big>
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<big>La classe de maître a mis l'accent sur le pouvoir de la neuroplasticité et de l'autocompassion et a offert des outils pratiques que chacun peut utiliser pour mieux s'adapter aux changements sur le lieu de travail et au-delà.</big>  
  
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<big>Les groupes en quête d'équité et les personnes dont les identités marginalisées se recoupent se heurtent à des obstacles considérables. Par exemple, Gérard a souligné que si les femmes en général ont gagné en représentation au sein du gouvernement, il y a beaucoup moins de femmes noires, et « une femme noire qui peut avoir un handicap sera une rareté au sein de la fonction publique fédérale ».</big>
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<big>'''Vérifier et faire le point'''</big>  
  
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<big>Sponsorship, Gérard explained, can counteract these gaps by enabling equitable l'accès aux opportunités d'avancement de carrière. Il a insisté sur le fait de traiter les autres comme ils veulent être traités, en encourageant l'individualité, l'inclusion et la responsabilisation, principes fondamentaux du parrainage en tant que forme de leadership inclusif.</big>
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<big>Alejandro et Ginette ont ouvert la séance en proposant au groupe un exercice rapide de pleine conscience appelé « balayage corporel », qui permet de prendre conscience de toutes les parties du corps afin de pratiquer l'autocompassion et de s'adapter au changement.</big>
  
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<big>Samantha a raconté une histoire personnelle illustrant l'impact du parrainage. Au début de sa carrière, un collègue de bureau est devenu son parrain des années plus tard en la présentant à une organisation qui recherchait son expertise. Ce lien décisif a finalement conduit à la création du programme, qui met en relation des personnes à tous les niveaux de la fonction publique, en encourageant le mentorat et le parrainage.</big>
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<big>La pleine conscience et la capacité à s'adapter au changement sont des compétences qui nécessitent une pratique régulière et cohérente pour la plupart des gens - c'est là que la neuroplasticité et l'autocompassion entrent en jeu !</big>  
  
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<big>Le programme illustre l'effet d'entraînement du parrainage : un acte de sensibilisation peut catalyser un changement systémique. Gérard, Samantha et Suzan ont insisté sur le fait que tout le monde peut être parrain, quelle que soit sa position. Le travail en réseau est essentiel pour identifier ces opportunités et créer des liens significatifs.</big>
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<big>'''Neuroplasticité et autocompassion'''</big>
  
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<big>Le programme DEAPCM témoigne du pouvoir du mentorat, du parrainage et de l'inclusion. En encourageant les futurs dirigeants qui défendent la diversité et l'équité, il prend des mesures concrètes pour favoriser des lieux de travail qui reflètent la riche diversité du Canada. L'inclusion n'est pas qu'une question de mots, c'est une question d'actions, et le programme prend des mesures significatives dans la bonne direction.</big>
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<big>Les enseignants de la classe de maître ont expliqué que « la neuroplasticité est la capacité des réseaux neuronaux du cerveau à se modifier par la croissance et la réorganisation ».</big>  
  
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<big>Pour souligner son impact transformateur, le Bureau de la diversité et de l'inclusion, Groupe des matériels, Défense nationale, organise le programme annuel Diriger en élevant les autres : Programme des cercles de mentorat (DEAPCM), la plus grande initiative de mentorat de groupe soutenant les membres de l'Équipe de la Défense et les employés de la fonction publique fédérale en général.</big>
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<big>En tant qu'êtres humains, nous utilisons tous régulièrement la neuroplasticité, que ce soit lors de grandes transitions, comme le démarrage d'un nouvel emploi, ou lors de petites tâches quotidiennes, comme comprendre comment utiliser une application après une mise à jour. Ces choses peuvent être difficiles au début, mais avec suffisamment de pratique, elles deviennent des habitudes grâce au pouvoir de la neuroplasticité. Et contrairement à la croyance populaire, nous conservons la neuroplasticité tout au long de notre vie, ce qui signifie qu'il n'est jamais trop tard pour changer ou apprendre quelque chose de nouveau.</big>  
  
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<big>La quatrième cohorte du programme, qui se déroulera de septembre à décembre 2024, comprend plus de 1 100 participants issus de plus de 60 départements. Ces personnes ont rejoint plus de 150 cercles de mentorat, assisté à des classes de maître bihebdomadaires et élargi leurs réseaux grâce à de solides opportunités.</big>
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<big>Mais cela ne veut pas dire qu'il est facile de s'adapter au changement ! C'est pourquoi l'autocompassion est si importante : elle peut nous aider à voir le changement comme une opportunité de croissance plutôt que comme un obstacle. Sans autocompassion, il est beaucoup plus difficile d'acquérir de nouvelles compétences, car nous nous décourageons en nous jugeant pour nos erreurs.</big>
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<big>Pratiquer de nouvelles compétences, comme les balayages corporels, pour accroître l'autocompassion, non seulement utilise la neuroplasticité humaine à son plein effet, mais contribue à créer des dirigeants plus inclusifs à tous les niveaux : des personnes qui s'adaptent au changement et qui peuvent constater des progrès sans abandonner lorsque quelque chose ne va pas. Comme l'a écrit Padmasree Warrior, « la capacité d'apprendre est la qualité la plus importante qu'un leader puisse avoir ». Tout au long de son programme de 10 semaines, le DEAPCM a favorisé l'acquisition de ces compétences et a créé des leaders inclusifs au sein de la fonction publique fédérale et de l'équipe de la défense.</big>  
  
 
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Neuroplasticité et autocompassion : Aperçu de la classe de maître Diriger en élevant les autres

La capacité à s'adapter au changement est l'une des compétences les plus importantes pour favoriser des lieux de travail diversifiés, inclusifs et psychologiquement plus sûrs. Pour aider à former des leaders inclusifs à tous les niveaux de la fonction publique fédérale et de l'Équipe de la Défense, le Bureau de la diversité et de l'inclusion, Groupe des matériels, Défense nationale, organise chaque année Diriger en élevant les autres : Programme des cercles de mentorat (DEAPCM), la plus grande initiative de mentorat de groupe pour les membres du gouvernement du Canada et des Forces armées canadiennes, avec plus de 1100 participants provenant de plus de 60 départements. Chacune de ces personnes participe à l'un des 150 cercles de mentorat du programme.  

Le 18 novembre 2024, le DEAPCM a organisé sa cinquième et dernière classe de maître de l'année, intitulée « Autocompassion et neuroplasticité ». Elle était dirigée par Alejandro Gonzalez et Ginette Bailey et animée par Samantha Moonsammy et Suzan Richards.

La classe de maître a mis l'accent sur le pouvoir de la neuroplasticité et de l'autocompassion et a offert des outils pratiques que chacun peut utiliser pour mieux s'adapter aux changements sur le lieu de travail et au-delà.

Vérifier et faire le point

Alejandro et Ginette ont ouvert la séance en proposant au groupe un exercice rapide de pleine conscience appelé « balayage corporel », qui permet de prendre conscience de toutes les parties du corps afin de pratiquer l'autocompassion et de s'adapter au changement.

La pleine conscience et la capacité à s'adapter au changement sont des compétences qui nécessitent une pratique régulière et cohérente pour la plupart des gens - c'est là que la neuroplasticité et l'autocompassion entrent en jeu !

Neuroplasticité et autocompassion

Les enseignants de la classe de maître ont expliqué que « la neuroplasticité est la capacité des réseaux neuronaux du cerveau à se modifier par la croissance et la réorganisation ».

En tant qu'êtres humains, nous utilisons tous régulièrement la neuroplasticité, que ce soit lors de grandes transitions, comme le démarrage d'un nouvel emploi, ou lors de petites tâches quotidiennes, comme comprendre comment utiliser une application après une mise à jour. Ces choses peuvent être difficiles au début, mais avec suffisamment de pratique, elles deviennent des habitudes grâce au pouvoir de la neuroplasticité. Et contrairement à la croyance populaire, nous conservons la neuroplasticité tout au long de notre vie, ce qui signifie qu'il n'est jamais trop tard pour changer ou apprendre quelque chose de nouveau.

Mais cela ne veut pas dire qu'il est facile de s'adapter au changement ! C'est pourquoi l'autocompassion est si importante : elle peut nous aider à voir le changement comme une opportunité de croissance plutôt que comme un obstacle. Sans autocompassion, il est beaucoup plus difficile d'acquérir de nouvelles compétences, car nous nous décourageons en nous jugeant pour nos erreurs.

Pratiquer de nouvelles compétences, comme les balayages corporels, pour accroître l'autocompassion, non seulement utilise la neuroplasticité humaine à son plein effet, mais contribue à créer des dirigeants plus inclusifs à tous les niveaux : des personnes qui s'adaptent au changement et qui peuvent constater des progrès sans abandonner lorsque quelque chose ne va pas. Comme l'a écrit Padmasree Warrior, « la capacité d'apprendre est la qualité la plus importante qu'un leader puisse avoir ». Tout au long de son programme de 10 semaines, le DEAPCM a favorisé l'acquisition de ces compétences et a créé des leaders inclusifs au sein de la fonction publique fédérale et de l'équipe de la défense.

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